Cet avec un étonnement certain que l'on peut sortir de spectacl sans avoir un soupçon d'émotion. A ce demander du finalement ce n'était pas l'objectif de ces dernières technologies théâtrales, qui sous couvert D'avancees Et d'illusions complait le spectateur a une obscurité et une vision en noir et blanc. La dessus s'ajoute des sons de rouille et des gémissements lancinants qui nautorisdrnt pas vraiment l'esprit a se sentir guilleret.
Oui pas de prouesse physique, pas de texte, alors sur que vient-on voir ?
Des images, de l'utilisation de gadget, qui embuent le temps Dun soupçon que déjà ne temps apparaît visible, et la il faut le souligner, la prouesse est tangible !
Est cela notre génération, comme devant un écran des images de succédant, immense zapping retenant le visiteur que pour c qui tête a voir.
Dommage parfois es belles images, telles que des chorégraphies dignes des danses de loie Fuller, mouvement et ombres qui se complètent, superposition d'image, même si ell donne l'impression de souffrance ou de gêne.
Ne peut on être heureux, donner du bonheur a voir, de la vie de l'émotion ?
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