
Il me souvient, avec une délicieuse majuscule, de ma tendresse lors de mes jogging dominicaux et de ma contemplation de Galatée dans les bras du berger Acis, magnifiquement photographié par Patrick Bertucelli ici dans sa série sur Les troublants corps de pierre.
texte Ovide Metamorphose XIII
La nymphe des Mers, Galatea, éprise d’Acis, fils de Pan. Le cyclope, Polyphème, qui chantant en vain son amour pour Galatea, rendu jaloux et furieux, blesse mortellement Acis sous un énorme rocher. Acis devient alors immortel, métamorphosé sous la forme d’une source.
Acis est un jeune berger de Sicile, fils de Faunus et de la Nymphe Symaéthis qui fut aimé de la Néréide Galatée à la peau blanche comme le lait. Mais non loin de là vivait aussi le cyclope Polyphème. De son unique oeil au milieu du front, il avait aperçu la belle Galatée et en était tombé éperdument amoureux. Il ne cessait de lui chanter son amour, accompagné d'une lyre, tandis qu'elle passait au large, dédaigneuse, portée par un dauphin ou un monstre marin, telle qu'on peut la voir par exemple sur une mosaïque de Cordoue, en Espagne.
Or un jour, Polyphème le cyclope trouva Acis et Galatée tendrement enlacés et endormis sous un arbre. Son coeur en fut brisé, et dans sa fureur, il brisa la tête du berger sous un rocher de l'Etna, tandis que Galatée s'enfuyait vers la mer.
Inconsolable, Galatée pria Neptune de transformer le sang qui coulait du corps de son amant en un fleuve ; les eaux du fleuve se jetant dans la mer, Acis viendrait ainsi, pour toujours et à tout moment, la rejoindre...
En ce qui concerne Acis, Ovide, dans ses Métamorphoses, nous raconte qu'inconsolable, Galatée transforma le sang qui coulait du corps de son amant en un fleuve ; les eaux du fleuve se jetant dans la mer, Acis viendrait ainsi, pour toujours et à tout moment, rejoindre son amante.
Ce fleuve, au pied de l'Etna, porte aujourd'hui le nom de Jaci. (Aci Trezza, Aci Castello)
Acis est un jeune berger de Sicile, fils de Faunus et de la Nymphe Symaéthis qui fut aimé de la Néréide Galatée à la peau blanche comme le lait. Mais non loin de là vivait aussi le cyclope Polyphème. De son unique oeil au milieu du front, il avait aperçu la belle Galatée et en était tombé éperdument amoureux. Il ne cessait de lui chanter son amour, accompagné d'une lyre, tandis qu'elle passait au large, dédaigneuse, portée par un dauphin ou un monstre marin, telle qu'on peut la voir par exemple sur une mosaïque de Cordoue, en Espagne.
Or un jour, Polyphème le cyclope trouva Acis et Galatée tendrement enlacés et endormis sous un arbre. Son coeur en fut brisé, et dans sa fureur, il brisa la tête du berger sous un rocher de l'Etna, tandis que Galatée s'enfuyait vers la mer.
Inconsolable, Galatée pria Neptune de transformer le sang qui coulait du corps de son amant en un fleuve ; les eaux du fleuve se jetant dans la mer, Acis viendrait ainsi, pour toujours et à tout moment, la rejoindre...
En ce qui concerne Acis, Ovide, dans ses Métamorphoses, nous raconte qu'inconsolable, Galatée transforma le sang qui coulait du corps de son amant en un fleuve ; les eaux du fleuve se jetant dans la mer, Acis viendrait ainsi, pour toujours et à tout moment, rejoindre son amante.
Ce fleuve, au pied de l'Etna, porte aujourd'hui le nom de Jaci. (Aci Trezza, Aci Castello)
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