
de Arnaldur INDRIDASON,
(Traduction de l'islandais : Eric Boury )
Souffle : Bon. On retrouve un début de suspens excellent, le meutre d'un portier d'un hôtel en période de fin d'année.
Par rapport à ses deux précédents romans, "La cité des Jarres" et "La femme en vert", il me semble qu'il y a un peu plus de longueur dans la deuxième partie de son livre, mais lors de la lecture, l'énigme sur tous les tueurs/tueuses potentiels n'est dévoilé qu'à la toute fin et c'est ....
2 commentaires:
Chère Baleine, la cité des jarres, si je peux me permettre.
Amicalement
LS
Zut, je me suis trompéen surement pour ne pas passer pour une potiche avec ce fichu plafond de verre....
Non je ne suis pas un vase posée sur une table, je corrige illico...
J'ai voulu faire de mémoire, j'aurai du vérifier les titres. Vous me direz si vous l'avez appréciez autant que les précédents.
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