2024/10/22

avec elle

C'était hier, c'est ce soir. Dans l'ennuie ces maison de campagne, par chance un feu de cheminée. C'est le printemps de Vivaldi, il n'y a plus de maladie, plus de cancer, il y a la puissance des flammes qui s'immiscer dans les veines du bois, il y a cette chaleur, cette braisé ardente, qui ne demande qu'à s'exprimer. Cette force qui embellit en même temps qu'elle se consomme, elle cherche dans ce feu ravageur ce souffleur pour l'aider à brûler. Oui mort certaine, mais qu'importe, c'est le tourbillon, la multitude des plaisirs flmammeche, tout va très vite, ça s'accélère On ne contient plus rien. Tourbillon, force,  reste t il de l'oxygène.
Leger repis, coeur rougoyany, je ne suis plus cet astre kncandescent, pour sur su tu t'approche encore tu ressentir cette chaleur qui m'anime, mais mon apparence vient de prendre ce temps grisâtre de l'adieu. 

Rappelle toi notre bonheur.

2024/06/03

Boucle temporelle

Comment se retrouver quand on ne sait pas qu'on s'est perdu

2021/09/20

isolement

Perdue, au milieu, au bord, plus de piste de visible. Ou sont donc ces traces infimes ? Indicateur de chemins possibles. 

Confinement

L'attente, est le maître mot. Le volume est déterminé, frontière posée.

Un isolement suivant son foyer. Etrangeté des amants séparés. Foyer d'origine, une matrice invisible impossible à franchir, respect du placenta, revenir à l'occupation principale nourrir et protéger sa lignée. 

Et pourtant de ces têtes à tête, la communication ne traverse pas l'espace. 
Voie unique, seul dans sa tête.

2019/10/07

Souffle

Le voir sourire, pour éclairer la paix interieure.
S'imaginer ailleurs, juste pour être ensemble, partout et nulle part, engrenage de ville jusqu'à Toronto, comme n'importe quelle ville de mouvement, de possible.
Et en trois coups de Web, se voir en haut de la tour, marcher dans la ville.
Marcher, avancer aller de l'avant, pour ressentir la brise.

2019/10/06

Pas de pore dilaté

Un léger décalage entre les souvenirs, sa capacité actuelle et la volonté. Ainsi elle se reprenait à imaginer des scènes torides, de plus en plus extrême, et dans le même temps cette sorte de lassitude qui la grignotant pour l'empêcher de mener à bien ce nouveau fantasme, énergie mis dans la mastication déraisonnable du chocolat
Pourquoi se limiter dans le plaisir, comment retrouver cette spontanéité amoureuse ou seul le désir de se retrouver sur un espace aussi restreint d'un carré de lit semblait un mode de vie sans limites. Un regtangle de toute les couleurs ou du blanc immaculé des hôtels.
A quel moment avait elle oublié de se laisser aller....à vivre le moment, à solliciter le moment.
De ci delà, la question de savoir si l'amour est toujours en elle, si le fait d'être en ce moment comme un Robinson, l'empêchait de retrouver sa vision du bonheur.
L'amour appelle l'amour l'abstinence appelle la dépression. Ce trop plein d'énergie et d'amour qui nous embarrasse, qui nous pèse, qu'en faire...
Se motiver comme le mal au dos et les conseils de la sécurité, bouger pour vivre mieux.

La question est comment se poser avec sa fatigue actuelle eslt son imagination, son désir de plus.

Ses visions d'être possédée entièrement, s'oublier et disparaître uniquement dans ces orgasmes. Il lui revient ces moments où le temps disparaît ou plus rien n'existe à part sa foi dans le plaisir, peut être est-ce ainsi que sa spiritualité pourra enfin s'exprimer de nouveau.

Elle se souvient de ses passages dans les églises où son bonheur était d'être à deux, penser à allumer son cierge.
Cette naivite à fuit. Besoin d'énergie de force, pour se remettre à avancer.
Sa vie n'est belle que parce qu'elle avance sur ce chemin qui lui semble de plus en plus incertain.

2019/02/14

Attente

Savoir qu'on ne vit pas, si on vivait, on ne ferait rien de plus. Et pourtant cette sensation du temps qui s'étire, de l'inutilité de soi.
Être là, sans plus value, reconnaissance. Savoir que l'on est aimé sûrement inconditionnellement, et pourtant se sentir si éthéré.

Je deviens un fantôme, plus rien ne m'atteint, ni l'amour, ni la faim. Je passe entre mes contacts, comme un tweet qui s'oublie.
Je cherche la sensation, vient me faire l'amour, je me meurt.